Avec leurs collègues de différents établissements de recherche des États-Unis et d’Inde, ils ont fait des expériences en essayant de comprendre l’influence des pensées humaines sur l’état de la planète. Ils ont fait ces expériences à plusieurs reprises et dans la dernière il y avait entre 60 et 100 000 participants.
Une condition fondamentale et essentielle pour mener l’expérience était la présence de personnes qui pouvaient créer des pensées positives. Dans ce but, les gens se sont volontiers réunis en groupes et ont dirigé leurs pensées positives vers un certain point sur la planète. À cette époque, le principal point d’intérêt était Bagdad, la capitale de l’Irak, où il y avait un effusion de sang en cours.
Au cours de l’expérience, les combats ont soudainement cessé et il y a eu la paix deux jours après. De plus, pendant l’expérience, le taux de criminalité dans la ville a chuté de façon spectaculaire. Les instruments qui ont enregistré un fort flux d’énergie positive ont mesuré l’effet créé par les pensées positives.
Les scientifiques sont convaincus que ces expériences montrent la «matérialité» des pensées et des émotions humaines et leur incroyable capacité à mettre fin au mal, à la mort et à la violence. Encore une fois, les esprits scientifiques, grâce à leurs pensées et intentions pures, ont prouvé l’ancienne vérité : les pensées peuvent créer et/ou détruire.
Le choix nous appartient car cela dépend de notre attention, si nous allons créer ou affecter négativement notre environnement et nous-mêmes. La vie humaine est un choix constant et nous pouvons choisir de la vivre de la bonne façon.